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Paris, Colline : Avant-première - [Arts-Scènes]
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Saison 2009-2010 du Théâtre national de la Colline
Paris, Colline : Avant-première

Répertoire innovant au Théâtre de la Colline.

Article mis en ligne le octobre 2009
dernière modification le 16 décembre 2009

par Despoina NIKIFORAKI

 Notre terreur, collection collective d’ores et déjà, mise en scène Sylvain Creuzevault, du 16 sept. au 9 oct. 2009.
Notre terreur interrogera la chute de Robespierre, sa mort, son dernier jour. Qu’est-ce que la terreur ?

 Le Père Tralalère, collection collective d’ores et déjà, mise en scène Sylvain Creuzevault, du 14 oct. au 31 oct. 2009.
Drôle ou violent, ludique toujours, le d’ores et déjà se sert du théâtre pour faire admirer le rêve et la vérité du rêve, pas toujours agréable à entendre.

 Une maison de poupée et Rosmersholm, d’Henrik Ibsen, mise en scène Stéphane Braunschweig, du 14 nov. 2009 au 16 jan. 2010.
Jetés dans le vide, obligés de renoncer à tout ce qu’ils croyaient être, les personnages d’Ibsen doivent s’inventer un autre chemin, se frayer à tout prix une sortie pour renaître à eux-mêmes.

 Merlin ou la Terre dévastée, de Tankred Dorst, création du collectif Les possédés, dirigée par Rodolphe Dana, du 20 nov. au 19 déc. 2009.
Sans rien perdre de la puissance joyeuse de l’épopée, les acteurs explorent le juste écart du jeu qui sépare l’acteur du héros, le héros de l’humain.

 Manhattan Medea, de Dea Loher, mise en scène Sophie Loucachevsky, du 21 jan. au 20 fév. 2010.
Ce sera une comédie, ce sera une tragédie, aucune importance, conclut Deaf Daisy, travesti sourd qui semble être l’oracle de la cité moderne.

Stanislas Nordey mettra en scène « Les Justes » de Camus


 La Pierre, de Marius von Mayenburg, mise en scène Bernard Sobel, du 22 jan. au 17 fév. 2010.
En Allemagne comme en beaucoup d’endroits du monde, la question des racines, de ce qui fonde la légitimité d’une présence dans un lieu donné est devenue brûlante.

 Die Ratten (Les Rats), de Gerhart Hauptmann, mise en scène Michael Thalheimer, du 19 au 21 fév. 2010. Spectacle en allemand surtitré en français.
Deux femmes vont se rencontrer pour le pire. L’une d’entre elles, en mal d’enfant, convainc la seconde de lui donner le sien. Le drame éclate lorsque celle-ci se heurte à la puissance sociale de l’autre.

 L’Éveil du printemps, d’après Frank Wedekind, mise en scène Guillaume Vincent, du 12 mars au 16 avril 2010.
La pièce montre la jeunesse telle qu’elle est et pas telle qu’on voudrait qu’elle soit. Pour retrouver le bouillonnement et la palpitation de la pièce, Guillaume Vincent collabore avec un compositeur et un chorégraphe et entraîne l’écriture de Wedekind en zone de trouble.

 Les Justes, d’Albert Camus, mise en scène Stanislas Nordey, du 19 mars au 23 avril 2010.
L’un des enjeux de la mise en scène sera de libérer la pièce de l’esthétique et des préjugés dont l’histoire du théâtre l’a déjà recouverte pour faire résonner l’interpellation sans concession qui la constitue.

 Ciseaux, papier, caillou, de Daniel Keene, mise en scène Daniel Jeanneteau et Marie-Christine Soma, du 5 mai au 5 juin 2010.
Il s’agit à nouveau d’une ode à l’espèce humaine et à son étrangeté, une “première pression à froid de l’expérience” selon l’auteur.

 Combat de nègre et de chiens, de Bernard-Marie Koltès, mise en scène Micheal Thalheimer, du 26 mai au 25 juin 2010.
Micheal Thalheimer envisage de lire aujourd’hui l’œuvre de Koltès comme une pièce sur l’Europe.

Despoina Nikiforaki


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