Arts-Scènes
Slogan du site

Cinéma Danse Expositions Musique Opéra Spectacles Théâtre

Sur les scènes genevoises
Genève : au théâtre en avril

Ce mois encore, le choix sera difficile...

Article mis en ligne le 2 avril 2013

par Viviane Vuilleumier

Beaucoup de nouveaux spectacles sont programmés en avril, et le choix de vos soirées ne sera pas aisé.

Certains spectacles continuent en avril ; les informations nécessaires figurent sur le mémento de mars.

Coup d’œil sur les nouveautés :

Le Poche-Genève : Gorgias

Du 8 au 28 avril : José Lillo transpose cette redoutable joute oratoire entre quatre philosophes, champions de la rhétorique, au XXIème siècle.

José Lillo

L’histoire : Dans Gorgias, Socrate pose cette question : qu’est-ce que parler veut dire ? Est-ce l’acte de proférer des mots pour convaincre son interlocuteur, au mépris de la vérité ? Le langage est-il un instrument pour dominer les autres ou pour se gouverner soi-même ? Platon démontre que parler, c’est toujours agir, et que la parole et la philosophie sont nécessaires mais peut-être impossibles dans la cité.

Le Poche-Genève, lun-ven à 20h30, mer-jeu-sam à 19h, dim à 17h, mar relâche (rés. 022/310.37.59 lun-ven 9h30 à 12h + 14h à 18h - Loc. SCM

Théâtre Am Stram Gram : Buchettino

Les 9, 10, 11, 12, 13, 14, 16, 17, 18, 19, 20 avril : La Socìetas Raffaello Sanzio nous présente sa version du Petit Poucet de Perrault.

L’histoire : C’est Perrault. Charles Perrault : ce type nous poursuit depuis plus de trois siècles. La Belle au bois dormant, le Petit Chaperon rouge, la Barbe-Bleue, Peau d’âne, Cendrillon, c’est lui. Le Petit Poucet, aussi. C’est Le Petit Poucet qu’on va vous raconter.

« Buchettino » par la Societas Raffaello Sanzio

Entrez. Entrez à l’intérieur de la boîte. Au sol, vous trouverez de l’écorce. Au plafond, une ampoule suspendue. Et cinquante petits lits de bois. Retirez vos chaussures. Glissez-vous sous les draps. Détendez- vous. Pas trop. Restez sur vos gardes. Écoutez.
Vous entendez cette voix ? Et tout autour, le bruit des feuilles dans la forêt, les petits cailloux semés, les pas de l’ogre... L’ogre. Il est là lui-aussi. Et la peur, la peur n’est pas loin. Détendez-vous. Mais pas trop...
« Il était une fois un homme qui était bûcheron. Chaque matin, il allait dans la forêt, armé de sa hache... »

Théâtre Am Stram Gram, mar-jeu-ven à 19h, mer à 15h, sam-dim à 15h et 20h (Loc. 022/735.79.24 et Service Culturel Migros

Casino-Théâtre : Tout ce que vous avez voulu savoir sur l’impro sans jamais oser le demander

Du 9 au 21 avril : Après le succès de Danse avec les mots, l’improvisation poursuit son aventure.

L’histoire : Julien Opoix et Philippe Cohen ont souvent fait exploser le rire et la bonne humeur avec les sujets du public. Ici, ils partiront dans une démonstration des techniques de l’improvisation, grâce à une interactivité continue avec le public qui décidera des histoires et des personnages… Très imaginatif avec Improvisateurs en délire.

Philippe Cohen et Julien Opoix

Au Casino-Théâtre, mar-ven à 20h, mer-jeu-sam à 19h, dim à 17h, relâche lun (rés. 022/793.54.45 ou info@theatre-confiture.ch)

Théâtre de Carouge : La poudre aux yeux

Du 9 au 28 avril : Le metteur en scène romand David Bauhofer, reconnu pour ses mises en scène de grands classiques et son sens de l’humour, propose sa toute dernière création, un classique de la comédie du Second Empire !

L’histoire : « Sans songer à une alliance qui l’honorerait... en nous honorant... s’il pouvait entrer dans votre honorable famille... que tout le monde honore. » Cette réplique de Monsieur Ratinois résume à merveille l’ambiance régnant entre les familles de Frédéric et d’Emmeline qui veulent se marier, à tout prix.

« La poudre aux yeux »
photo de répétition Marc Vanappelghem

Le problème ? Madame Malingear, mère de la future épouse, est une femme vaniteuse. Et Madame Ratinois, mère de l’épousant, ne compte pas céder à ses intimidations. Toutes deux ont le même objectif : spéculer sur la dot pour assurer à leur progéniture l’avenir radieux dont elles rêvent (pour elles ?) dans le landerneau de la bourgeoisie, leur milieu naturel. Et qu’importe le montant des mensonges : que vive la poudre aux yeux !

Théâtre de Carouge, Salle François-Simon, mar-mer-jeu-sam à 1h, ven à 20h, dim à 17h, relâche lun (loc. 022/343.43.43 - info@tcag.ch)

Théâtre des Marionnettes : Le chat sans queue

Du 10 au 28 avril : Au programme, une joyeuse fantaisie autour des aventures d’un chat extraordinaire.

L’histoire : On découvre un chaton solitaire sur le chemin des écoliers. Dépourvu de sa précieuse queue, notre matou se sait différent des autres félins. Il se fait botter, déloger de partout et se retrouve bien démuni. N´y aurait-il pas en ville une boutique pour lui délivrer une queue, lui permettant de devenir un minou ordinaire ?

« Le chat sans queue »
© Cedric Vincensini

Théâtre des Marionnettes, mer à 15h, sam à 17h, dim à 11h et 17h (rés. reservation@marionnettes.ch, 022/807.31.07)

Théâtre du Crève-Cœur : Ma petite Monique

Du 24 avril au 12 mai : Caroline Gasser présente son One-woman show, avec l’aide de Xénia Marcuse, Raphaël Tschudi et Pierre Chatagn

L’histoire : « Ma petite Monique », une femme ordinaire de 47 ans, au bord de la dépression, avec des préoccupations, un entourage et une vie ordinaires. Monique, un personnage extraordinaire, capable de tout, qui va, à petits pas, d’émerveillements en désillusions, vers la révolte douce, la liberté, le sexe et le savoir. Et ce, en dépit des autres.

« Ma petite Monique »

« Ma petite Monique », une femme candide et audacieuse, qui, curieusement, nous dit à chacun intimement quelque chose de différent, à la manière de ces personnages de fresques antiques qui ne nous quittent pas du regard, d’où qu’on se place pour les regarder.

Théâtre du Crève-Cœur, Cologny, mer-sam 20h30, dim 17h15, relâche lun-mar (rés. 022/786.86.00)

Théâtre en Cavale à Pitoëff : La divergence des trajectoires

Du 12 avril au 5 mai : Valentine Sergo nous revient avec une création toute personnelle où elle conjugue intimité, humour et légèreté.

Valentine Sergo

L’histoire : Elvire et Raphaël, Anita et Victor, Caroline et Boris. Six personnages, trois couples, deux âges de la vie, six identités humaines en quête de sens. Elvire et Raphaël sont les plus jeunes, ce sont eux qui ont le plus soif de liberté. Anita et Victor sont leurs aînés ; des survivants du quotidien et des espoirs déçus. Et il y a aussi des morts, des fantômes, qui n’ont qu’un désir : soulager la souffrance de ceux qui restent. Entre espoirs pour les plus jeunes, survies pour leurs aînés et désirs d’aimer pour les anciens, La divergence des trajectoires, c’est l’histoire de deux générations qui se débattent avec la vie, malgré la mort, malgré l’héritage et le poids du passé.

Théâtre en Cavale à Pitoëff, mer-sam à 19h, jeu-ven à 20h30, dim à 17h, relâche lun-mar (rés. 079/759.94.28 / www.cavale.ch - loc. Service culturel Migros, Stand Info Balexert, Migros Nyon La Combe)

Théâtre Saint-Gervais : Assis dans le couloir

Du 9 au 20 avril : Aurélien Patouillard et Émilie Vaudou proposent un spectacle basé sur le texte L’homme assis dans le couloir de Marguerite Duras.

« Assis dans le couloir »

L’histoire : Un homme, une femme, anonymes. Étrangers l’un à l’autre, mais livrés à un désir inouï. Poussés par la folie des corps vers un continent qui prend parfois le nom d’érotisme et que la littérature traque avec fascination. « Il y a des auteurs qui vous hantent parfois et dont les phrases éclairent vos recoins obscurs ; des auteurs qui vous attrapent de manière sauvage et intempestive, vous rappellent en ces lieux où le corps redevient un élément premier, animal, voire minéral. Des lieux où le corps se fond aux phénomènes naturels, à l’apparition d’un brouillard ou la course lente des nuages. »

Théâtre Saint-Gervais, 7ème étage - L’Atelier. Lundi, mercredi, vendredi à 19h00 ; mardi, jeudi, samedi à 20h30 ; relâche le lundi 14 avril 2013(loc. 022/908.20.20 ou www.saint-gervais.ch)

Théâtre du Léman : La Vérité

Les 16 et 17 avril : La dernière pièce de Florian Zeller fait escale au Théâtre du Léman dans la mise en scène de Patrice Kerbrat.

Florian Zeller
photo Hubert Fanthomme

L’histoire : La Vérité est une comédie sur le mensonge. C’est aussi ce que pense Michel (Patrick Chesnais), qui a tout intérêt à dissimuler la vérité à sa femme (Cécile Magnet), à son meilleur ami, ainsi qu’à sa maîtresse (Fanny Cottençon). Quand celle-ci lui apprend qu’elle n’en peut plus de ne pas « vivre dans la vérité » et qu’elle voudrait tout révéler à son mari, Michel doit la convaincre des inconvénients de la dire (la vérité) et des avantages de la taire. Quant sa femme le surprend en flagrant délit de mensonge, il doit tout faire pour écarter ses soupçons. Et quand son meilleur ami lui confie qu’il suspecte sa propre femme de le tromper, il doit se débrouiller pour ne pas être démasqué. Au final : beaucoup de transpiration et beaucoup de mauvaise foi...

Théâtre du Léman à 20h30 (loc. Fnac)

Théâtre Alchimic : Vladimir

Du 16 avril au 5 mai : Véronique Ros de la Grange met en scène une pièce du Slovène Matjaz Zupancic, un thriller dont le suspense vous tiendra en haleine de la première à la dernière réplique.

Véronique Ros de la Grange

L’histoire : Vladimir est un personnage énigmatique proche de la soixantaine. Il est choisi comme colocataire par trois étudiants d’une vingtaine d’années, soucieux d’équilibrer leurs finances pour payer leur loyer, à cause de leurs entrées d’argent incertaines et des revenus assurés de cet homme âgé. Sans trop savoir qui est ce Vladimir, ces jeunes gens le laissent pénétrer dans leur joyeux désordre, entre l’insouciance de leur jeunesse et de leurs responsabilités à venir. Mais leur cohabitation avec cet homme étrange se trouve bouleversée, lorsque Vladimir, qui est protecteur et amoureux de l’ordre, prend imperceptiblement le pouvoir dans leur appartement. Avec sa volonté de remise à l’ordre moral, il sème progressivement la terreur. La violence psychologique mène fatalement à la violence physique, puis à l’irréversible...

Théâtre Alchimic, mar-jeu-ven à 20h30 ; mer-sam-dim à 19h, relâche lun (rés. 022/301.68.38 / billetterie@alchimic.ch - loc. Service culturel Migros)

Théâtre Am Stram Gram : L’après-midi d’un foehn

Les 23, 24, 27, 28 avril : Am Stram Gram accueille un spectacle de Phia Ménard et de la compagnie Non Nova. Le cirque comme vous ne l’avez jamais vu !

L’histoire : Tout commence comme un petit bricolage du dimanche. Sur un plateau circulaire, quelqu’un est assis, qui taille et scotche des sacs plastiques. Puis le vent entre en piste.

« L’après-midi d’un foehn »
© Jean-Luc Beaujault

Phia Ménard, qui dirige la compagnie Non Nova, transforme les ventilateurs en chorégraphes. Et jongle avec des ballerines. Un dragon, un cavalier, des oiseaux translucides : des amis de trente centimètres de haut nous parlent du poème le plus léger, celui qu’écrit le vent.

Théâtre Am Stram Gram, mar à 19h, mer-sam à 15h et 19h, dim à 10h et 17h (Loc. 022/735.79.24 et Service Culturel Migros)

Théâtre de l’Usine : Dites-moi qui je suis (que je me perde)

Du 23 au 28 avril : Dans son nouveau spectacle, en opposant la vision de l’ego (en vase clos) et la formation interactionnelle de l’identité, Vincent Brayer provoque un hiatus, source de théâtre.

« Dites-moi qui je suis (que je me perde) »

L’histoire : Qui dit « je » en nous ? Le « je » d’hier est-il celui d’aujourd’hui ? Mon identité est-elle un kaléidoscope de représentations, certaines de ma fabrication, d’autres volées autour de moi ? Comment toutes les représentations de ce « je » peuvent-elles coexister ? Celui que je veux être, celui que je suis, celui que je crois être, celui que je crois devoir devenir, celui que je montre, celui que l’on voudrait que je sois, celui que l’on croit que je suis, celui que l’on me dit être. Quel jeu s’instaure entre identité individuelle et identité sociale ou familiale ? Qui suis-je si je suis seul ? Suis-je la même personne en groupe ? L’autre est le critère qui me distingue en tant que « moi », mais l’autre ne m’altère-t-il pas ?

Théâtre de l’Usine à 19h, jeu-ven à 20h30 (rés. 022/328.08.18 ou www.darksite.ch/)

La Comédie de Genève : Les mains sales

Du 23 avril au 8 mai : Philippe Sireuil met en scène un texte de Jean-Paul Sartre qui, pour lui, a quelque chose du mythe.

L’histoire : 1943, dans un pays imaginaire sous dictature fasciste. Hugo, jeune résistant communiste, est chargé d’une mission par le Parti : celle d’assassiner Hoederer, un « social-traître » qui cherche à négocier avec les pouvoirs en place. Avec sa femme Jessica, Hugo est infiltré comme secrétaire personnel dans la maison de Hoederer... Mais les jours passent, et malgré l’urgence de la situation, le jeune homme n’agit pas.

Philippe Sireuil
© DR

Pour Philippe Sireuil, Les Mains sales ne se réduisent pas à un mythe : loin de se réduire à la dénonciation des arcanes d’un parti, la pièce est traversée par des questions dont la portée est universelle, celle du compromis entre l’idéal et le réel, celle de la liberté de l’individu. Elle tient aussi du drame historique, de la comédie, voire parfois du vaudeville. Sophocle y côtoie le boulevard et le polar, et c’est ce composite, cette richesse du matériau qui en font l’une des œuvres les plus emblématiques du théâtre français de l’après-guerre.

La Comédie de Genève, relâche lun, mar-ven 20h, mer-jeu-sam 19h, dim 17h (Billetterie : 022/350.50.01 / billetterie@comedie.ch)

Le Grütli : Légendes de la forêt viennoise

Du 23 avril au 12 mai : Frédéric Polier met en scène ce texte de Horváth qui expose la stupidité et l’hypocrisie qui se cachent derrière les comportements et préjugés des petits bourgeois. Sa peinture sans concession de ces déclassés de l’Allemagne et de l’Autriche des années 1920, terreau fécond du nazisme à venir, vaudra à Horváth un exil définitif.

Ödön von Horvath

L’histoire : D’un côté la campagne viennoise et ses paysages bucoliques. De l’autre une Vienne de l’entre-deux guerres en pleine débâcle financière. Vienne joue ! Vienne achète et vend ! Vienne spécule sur les cendres de l’ancien empire austro-hongrois. Les quartiers populaires vivotent, la boucherie reste florissante et le tabac également. Mais la boutique de jouets et d’articles de magie périclite : quoi de mieux qu’un bon mariage pour relancer les affaires ? Les fiançailles de Marianne, la fille du Roi de la magie, avec Oscar, le boucher ami d’enfance, donnent lieu à des agapes au bord du Danube. Las, celles-ci partent en eau de boudin et le mélodrame commence. Pourtant, de guinguette en music-hall, la fête se poursuit...

Le Grütli, Grande salle (sous-sol), mar-jeu-sam à 19h, mer-ven à 20h, dim à 18h. Relâche lun (billetterie : reservation@grutli.ch / 022/888.44.88)

Bâtiment des Forces Motrices : Un stylo dans la tête

Le 30 avril : Les Théâtrales accueille une comédie de Jean Dell mise en scène par Jean-Luc Moreau, avec Francis Perrin.

« Un stylo dans la tête »
© Bernard Richebé

L’histoire : Victor Aubrac est un auteur de théâtre à succès. Ce soir il réunit ses meilleurs amis pour leur annoncer une grande nouvelle, il s’est inspiré d’eux pour écrire une comédie hilarante. Il avait ses personnages sous la main : un homo, deux sœurs névrosées, l’ex de sa femme, alors pourquoi chercher plus loin.
La réaction de ses amis est unanime, c’est la consternation. De quel droit s’est-il emparé de leur vie ? Ce qui devait être une soirée de fête vire au règlement de compte. C’est une chose d’aimer les comédies au théâtre, c’en est une autre quand vous en êtes le héros.

BFM à 20h30 (rés. 022/364.30.30 - ou www.lestheatrales.ch ou www.fnac.ch)

Théâtre Am Stram Gram : De mémoire d’estomac

Le 30 avril et du 1er au 5 mai : C’est dans l’artisanat du théâtre d’objets, quelque part entre Méliès et Gondry, que Robert Sandoz puise pour donner à voir cette fable drôle et terrible, écrite par Antoinette Rychner, jeune auteur romande à découvrir.

L’histoire : Un estomac sans cesse réincarné naît, cette fois, dans le
creux d’une petite fille qui a faim de découvertes. Las pour elle, l’un de ses bras n’est pas comme ceux des autres, au point que ses parents l’abandonnent. Guidée par la sagesse relative de son organe digestif et par son amour de la vie, elle grandit, aime le monde, s’effraie, s’exclut et se réfugie chez une sorcière qui l’adopte, sans la manger. Là, elle va rencontrer un enfant qui, comme elle, est différent. Le vieil amoureux de la sorcière, qui se cache dans son atelier d’un
monde trop goulument parcouru, leur sculptera le bras pour en faire des instruments de musique. Un violon et son archet. Ils grandissent et s’apprivoisent au milieu des pommes, d’arbres à M&Ms et d’écureuils. Jusqu’à mourir d’union. Trop tôt. On ne mange pas n’importe quoi...

« De mémoire d’estomac »
photo/the*Glint

La petite fille et le petit garçon vont rapprocher leurs bizarreries, au milieu des pommes et des M&M’s, jusqu’à mourir d’union. On ne mange pas n’importe quoi... Alors c’est une tragi-comédie ? Oui. Un conte de fée moderne ? Oui. Une pièce sur la naissance du violon ? Aussi !

Théâtre Am Stram Gram, à 19h, sam-dim à 17h (Loc. 022/735.79.24 et Service Culturel Migros)